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Photo du rédacteurBlandine Barbry

Pourquoi le Very Small Data remplacera le Big Data ?


Pourquoi le Big Data s’est-il autant développé depuis 10 ans ?

Parce que les entreprises ne savent pas vraiment comment les clients prennent leurs décisions d’achat. Elles cherchent à le comprendre en observant les analogies de comportements entre clients.

Pour observer les comportements des clients, elles ont besoin d’énormément de données : toutes les actions des clients sur les sites Internet, les cookies, leurs propres données clients, … etc.

Ce qui fait énormément de données à l’arrivée.

Pourquoi les entreprises procèdent-elles de cette façon ?

Parce qu’elles n’ont pas été (in)formées sur le processus de prise de décision du client qui permet de comprendre comment et pourquoi le client choisit telle gamme de produit de telle marque.


Le stockage de gros volumes de données coûte cher et il est souvent ensuite nécessaire en outre d’investir dans un produit d’Intelligence Artificielle (Machine Learning) pour exploiter ce gigantesque puits de données, que l’humain ne peut pas exploiter seul fonctionnellement.

Quel sera le volume du stockage de données dans 10 ans ?

Est-ce que l’intelligence artificielle nous apprend comment le client prend ses décisions d’achat ?

Non, elle nous apprend que si le client a fait telle action ou tel achat, alors il est possible qu’il fasse ensuite tel autre achat.

Est-ce qu’on en apprend davantage sur le client ? Est-ce qu’on comprend mieux la raison de son choix de produit ?

Non, parce qu’il est très complexe ensuite de trouver les « points communs » fondateurs de la décision entre les clients de ce groupe. Autant chercher une aiguille dans une botte de foin.


Les clients prennent leurs décisions d’achat, et choisissent telle gamme de produits dans telle marque, en fonction de leur personnalité innée.

Les entreprises ont donc besoin de comprendre l’induction entre les données sources qu’elles possèdent sur leurs clients et les décisions d’achats clients, au travers de leur personnalité innée.

Il faut donc travailler en DataPyschologie pour creuser cette nouvelle voie du PsychoMarketing qui permettra de sortir du Big Data (couteux, technique et abscons) : avec l’observation par un humain des comportements d’achats, pour en comprendre les causes et ensuite être capable de les modéliser.

Quelques données sources seulement (d’où le nom Very Small Data), bien ciblées, permettront de définir la personnalité innée (collective) des groupes de clients.

En revanche, par souci d’éthique, la personnalité individuelle de chaque client ne pourra (heureusement) pas être exploitée.

L’entreprise se réappropriera ainsi la maîtrise fonctionnelle de ses actions Marketing, qui seront moins couteuses.


Le PsychoMarketing ciblé sur la Personnalité signera la décélération du Big Data et de l’Intelligence artificielle dans le e-commerce B2C, pour proposer aux clients les gammes de produit et les marques qui vont les intéresser, et uniquement celles-là.

L’ère du Very Small Data (VSD) sera ouverte.

Nos boîtes mail s’en réjouissent d’avance.

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